Drac Shark (en cours)

Nom :Shark
Prénom : Drac
Âge : 19 ans en apparence
Grade : non reconnu , ni dieu ni maître!
Division : Aucune (on veut pas de moi!)

Votre Zanpakutô :

Description du Shikai : Invoquez par la formule "Mau, Jigoku no Shu!" (danse, Seigneur de l'enfer) son zanpakuto se dédouble pour former deux longs cimeterres recourbés à lame d'argent. Un rubis est incrusté à la base de chaque lame et la poignée est noire, avec des ailes de dragons marquant la limite entre lame et poignée. A l'extrémité de cette dernière, les cimeterres ont une chaîne terminée par une pointe en V faisant penser à une queue de dragon. La chaîne peux s'allonger en un éclair et mesurer jusqu'à 30 mètres. Elle peut aussi se rétracter dans la poignée au besoin. Les lames ainsi que la chaîne et la pointe possèdent aussi le pouvoir de s'électriser et d'envoyer des éclairs à 10 mètres. Mais cela puise du reiatsu et fatigue donc son utilisateur. L'effet est un peu différent en "mode Hollow".

Description du Bankai : Il en aura un mais pour le moment ce n'est pas encore le cas.


Histoire :

« Mon histoire ? Je vous promets qu’elle n’a vraiment rien d’intéressant. Mais puisque vous insistez, je peux vous faire une rapide chronologie. Je suis né un 29 juillet, dans un grand hôpital à Londres. Le jour de ma naissance fut aussi celui que je considère comme celui de ma mort car… mais lisez plutôt. »
Drac interrompit alors son récit pour tirer un lourd volume d’un tiroir du bureau derrière lequel il était assis. Le jeune posa alors l’ouvrage qui avait par ailleurs l’ai très ancien – un ou deux siècles – devant vous. Curieux de connaitre la suite, vous saisissez le livre délicatement craignant d’abimer les pages jaunies et usées par le temps. Vous ouvrer à la première page et vous y trouvés un article de journal collé. Il date du 29 juillet 1883… Surpris(e), vous jeté un regard incrédule sur le jeun homme à présent négligemment affalé dans son fauteuil. L’air de profond ennui disparait alors de son visage, il se redresse et lève une main, coupant court à toute question :
« Je sais. Vous devez vous demander quel est mon âge réel. Faites donc le calcul ! L’autre question serait surement quelque chose comme : « pourquoi a-t-il l’air d’avoir 19 ans ? » Lisez, vous saurez. »
Votre curiosité ainsi ravivée, vous replongez dans la lecture de l’article :



L’article s’arrête à cet endroit. En dessous, on a collé un deuxième article, cependant vous ne lisez que les passages surlignés et les notes rajoutées au crayon :



Se succèdent alors des dates et des évènements dans un ordre chronologique. Comme vous ne tardez pas à vous en rendre compte, ceci constitue plus de rapides notes que la description précise d’évènements.

13 Septembre 1883 : mort d’un des bébés. Cause du décès : attaque cérébrale d’un nouveau genre. Tremblements violents, convulsions, saignements de plus en plus important s’écoulant du nez, de la bouche, des oreilles et des yeux.

27 Mars 1884 : Décès d’un autre bébé. Même attaque. Réexamination des bébés. Rien. Verdict : parfaite santé.

16 octobre 1884 : 3e décès. Les chercheurs se penchent plus sur la question et on nomme ce nouveau type d’attaque le « syndrome du Vol de Bébés »

2 avril 1888 : Un des enfants kidnappés déclare voir des fantômes.

7 avril 1888 : Le même enfant déclare voir aussi des monstre effrayants qui mangent les fantômes.

11 Mai 1888 : L’enfant meurt d’une crise après avoir dépecés vivants ses 3 animaux de compagnie et assassinés ses camarades de jeu.

12 Mai 1888 : un massacre semblable à lieu au Manoir des Shark. Le jeune Drac Shark est envoyé dans un orphelinat alors que la police enquête sur le massacre.

La suite de dates semble s’arrêter ici, et vous découvrez un texte manuscrit. L’écriture est belle, fluide, presque calligraphique et pourtant bien lisible. Le texte semble avoir été écrit à l’encre noire bien des années auparavant et les lignes de jais ont pâlies par endroits :

« Moi aussi je voyais des fantômes et des monstres. Mais ma mère me disais qu’ils n’existaient pas et je n’avais jamais cherché à la contredire, surtout que papa était un homme très attaché à la réalité et farouchement convaincu que tout ce qui touchait au paranormal n’existait pas. Mais un jour, ce jour, le 12 Mai 1888, alors que nous nous promenions en famille dans notre parc, je vis mon meilleur ami assis seul sur un banc. Il semblait triste et perdu. Cela faisait longtemps que je ne l’avait pas vu et je lâchai la main de ma mère en criant « Eliot ! ». Ma mère ne parvint pas à me rattrapé et je courut vers lui. Arrivé devant le banc, j’entamai la discussion lui demandant ce qu’il faisait là tout seul, s’il voulait jouer au ballon... Avant qu’il n’ait eut le temps de me répondre, ma mère se trouvait à côté de moi, bientôt rejointe par mon père. Il regardent tous les deux le banc, puis moi, puis encore une fois le banc. Ma mère éclate en sanglots et enfoui sont visage contre le torse da papa. Je croit que je ne l’ai jamais vue aussi triste… Papa, lui, affiche une expression sévère et il me demande d’un ton froid :
« - Drac, à qui parles-tu ?
- Mais à Eliot, papa ! Il est là, sur le banc, tu vois ?
- Oui, je vois… » répond-il en le regard perdu dans le vague.
Les sanglots de ma mère redoublent quand je parle d’Eliot, et mon père ne voit visiblement pas : il regarde trop haut. J’étais trop petit et je ne comprenait pas ce qui se passait. Alors j’ai continué :
« Dit, papa, pourquoi maman elle pleure ? Et Eliot, je peux jouer avec lui ?
- Drac…
- Il peut venir dîner chez nous et…
- Drac, écoute…
- Est-ce qu’il peut rester dormir ?
- Drac ! Suffit ! » rugit papa.
Je crois que je ne l’avait encore jamais vu aussi énervé. Je ne comprenait pas ce que j’avais fait de mal, mais j’avais trop peur pour répondre quoi que ce soit. Alors je restai là, à le fixer bêtement en attendant la suite des évènements. Il a dut voir mon expression car il se radoucit et expliqua :
« Drac, je sais que c’est dur mais… Eliot est… Il est mort il y a un mois, dans un tragique accident de voiture. Tu ne le reverra plus. Jamais. »
Mais de quoi mon père me parlait ? Mort ? C’est quoi ça ? Et puis, Eliot était là, devant moi !
Il faut dire que bien que je voyais les fantômes, je ne savait pas d’où ils venaient et ne comprenait pas encore le concept de la mort. Alors je me disais qu’ils avaient été ensorcelés par une sorcière ou quelque chose du genre. Pas étonnant que mon père me parlait chinois. Rassuré par son changement de ton, je reprit avec mon air naïf :
« Mais papa, Eliot est sur le banc, là ! Regarde !
- Non, Drac. Eliot est mort, tu comprends ? Tu ne le reverras plus.
- Alors c’est qui sur le banc ? C’est pas toi Eliot ? … Tu vois, il dit que si, que c’est bien lui ! »
Mon père écarta délicatement ma mère qui sanglotait toujours, les mains sur le visage, marmonnant des « lui aussi… pitié non… pas lui… » d’un ton désespéré. Il s’accroupit devant moi, me prenant par les épaules et me fixant droit dans les yeux… et il recommença à parler martien.
« Mon fils. Tu est un grand garçon pas vrai ? Alors tu dois comprendre. Eliot est mort. Il est partit très loin, il a quitté son corps et ne reviendra plus. Tu ne le reverra jamais. Je sais qu’il te manque mais ce banc est vide.
- Mais non papa ! Il est là ! Il est pas partit ! Regarde ! Mais regarde !
- Arrête cela ! Il est mort, et les fantômes n’existent pas ! tu ne PEUX pas le voir ! Tu l(imagine, c’est tout !
- Mais papa…
- Drac ! Il n’y a rien sur ce banc ! Rien tu entends ? Absolument rien ! »
Je voyais bien qu’il perdait son calme à cause de son ton qui montait de plus en plus. Il commençait à crier en me serrant de plus en plus fort. Les passants commençaient à s’arrêter pour nous regarder. Les idiots. Ils ne savaient pas qu’ils allaient payer cet excès de curiosité de leur vie…
Alors qu’il essayait de me convaincre que je délirai, je continuai à répondre que je voyait parfaitement bien Eliot, même qu’il me parlait, mais ceci ne faisait qu’envenimer les choses. Je commençais à en avoir assez de lui dire de regarder et qu’il ne m’écoutait pas. Il commença même à me secouer de plus en plus fort, hurlant presque de façon hystérique que je devais me calmer et accepter la vérité en face. Que son fils ne serait pas come ça. Qu’il était plus mûr… etc. Je ne comprenais absolument rien et finit même par me dire que mon père devenait fou. Mais je persistais à vouloir le convaincre de la présence de mon ami. Jusqu’à ce que je ferme les yeux et me mettes à hurler. De peur. Mais aussi de rage et de colère.
J’ignore ce qui se passa ensuite, car je dut perdre connaissance.



Description psychologique :

Drac est assez introverti et ne parle jamais plus que nécessaire. La parole est d'argent et le silence est d'or... mais le temps est de platine. Voilà à peu près sa façon de penser. Il ne fait par ailleurs confiance à personne et évite les contacts le plus possible. Comme c'est expliqué dans son histoire, il a appris à parfaitement masquer ses émotions et à bluffer. Il affiche toujours un air blasé et démotivé mais personne ne peut vraiment dire ce qui se passe dans sa tête. Il a grâce à cela, développé un grand talent pour gérer sa fortune et son entreprise par l'entremise d'un homme de confiance (qui change en fonction des années). Il n'a eut qu'un véritable ami dans sa vie : Eliot. Depuis l'incident du parc, il n'a pas cherché à s'en refaire. Mais si il vient à retrouver l'amitié, alors il sera fidèle et compréhensif. Bref, Drac est quelqu'un sur qui l'on peut compter et responsable.

Description physique :

Drac est assez grand et mince mais reste néanmoins très bien proportionné. Malgré son aspect délicat et fin, il est très résistant et plutôt bien musclé. Sa légèreté avantage sa vitesse plus que sa force physique si bien qu'il mise tout sur l'effet de surprise et les attaques éclair. Mais il demeure un adversaire redoutable au corps à corps relevant de la pure puissance physique. Étrangement, il garde les même vêtements sous sa forme de "Shinigami" que sous sa forme humaine. Il porte toujours un manteau noir en cuir souple qui descend jusqu'au chevilles et est fendu derrière. Le reste de ses vêtements change suivant son humeur: parfois il se vêtit de blanc funéraire, parfois de couleurs vives ou pastels, mais le plus souvent, c'est le style noir-chic avec un soupçon de gothique qu'il arbore. Cela lui rappelle en effet son temps, en 1900.
Il a de longs cheveux noirs et les traits de son visage son fins et gracieux. Il a cependant un côté sauvage et indomptable qui ajoute à son charme. LA couleur de ses yeux varie légèrement, allant du bleu profond de mer calme au noir ténèbres en fonction de son humeur. Son Hollow a la peau pâle et celle-ci à l'air fragile, comme du parchemin ayant traversé les millénaires. Ses dents sont blanches mais ses canines rappellent celles-des vampires et pour cause, il se nomme Kyuuketsuki (吸血鬼 , 吸 que l'on trouve dans le mot absorption, 血 voulant dire sang et 鬼 démon ). Il a aussi des yeux rouges et mauvais.

Motivations/buts :
N'étant pas un Shinigami venant de la Soul Society, cette-dernière cherchera à l'éliminer quand elle apprendra son existence. Mais Drac se rend compte qu'il a été victime de manipulation d'âme et il cherche qui lui a fait subir cela pour se venger.

Autre :
ne sous-estimez pas le côté Hollow de Drac, jeune Shinigami !!
Drac ne connait encore pas l'existence de la Soul Society : il n'a jamais été en contact avec un Shinigami et a vécu caché jusqu'à maintenant. Cela lui a évité pas mal d'ennuis par ailleurs.
La "Shark Company" s'est implantée au Japon et produit de tout. Elle a par exemple, pratiquement le monopole des moyens de télécommunications et fabrique des téléphones portables dernier cri. Sans parler de ces ordinateurs, baladeurs...
De plus, Drac possède de nombreuses actions en bourse... du coup, la moitié de la ville lui appartient... enfin, façon de parler.

JOUEUR IRL (tout est facultatif)

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"Moi, Drac Shark, assure avoir pris connaissance des règles du forum et m'engage à les respecter dans tout mes messages. En cas de non respect, un administrateur ou un modérateur peut me remettre à l'ordre et appliquer les sanctions nécessaires."

Bienvenue =D

WELCOME !

Oulalah, un personnage torturé en perspective! Bienvenue Drac!

Oh, un vizard oO
Yataaaaaaaaaaaa !!! Capitaine, regardez!!! Un adversaire puissaaaaaant!!! *saute de joie*

Je me ferais un plaisir de l'exploser à coup de kido xD qui sait, j'utiliserai peut-être atsuinamida xD Meuh non je vais pas te tuer, c'est Drac quand même!

Merci pour ce "chaleureux" accueil ponctué par des menaces de mort ^^

Siya, Drac est un futur Vizard.

[Edit :
Je sens que je vais faire un post spécial pour son histoire vu les proportions que ça prend! Et encore, il a que 5 ans là!]

Bah oui, s'il a un hollow, c'est un Vizard, qu'il le maîtrise ou pas xD
Et le zanpakuto? hein, hein? Il l'a son zanpakuto? *bave*

Adversaiiiiire xD

Mais vous avez de sérieux problème !!! xD

J'adore ton histoire drac ! =D

(Ta bann' aussi 'Yano xP)

PROBLEME? MOI J'AI DES PROBLEMES? MAIS J'AI AUCUN PROBLEME BOUARFFARFFJQGIPBFQBKFMEZFMRBJOQEVDEscqdvsth,mùgqdvf prout.

Suite l'histoire de Drac

A mon réveil, je sentit que j’étais trempé. Je me sentais faible aussi et fatigué. J’avais comme des courbatures partout, comme si mon corps venait de faire quelque chose de particulièrement éprouvant. Je commençait à récupérer l’usage de mes cinq sens et la première chose que je remarquai fut l’odeur métallique et désagréable qui emplissait l’air. Une petite rafale de vent souleva ce que j’avait prit pour des feuilles. C’était l’automne : elles étaient rouges… Hein ? Une minute, on est en Mai ! A ce moment, une de ces « feuilles » retomba sur mon visage et je vit qu’il s’agissait d’un morceau de tissu imbibé de sang. Du sang ! D’où venait-il ? Que c’était-il passé ? J’hurlai. J’appelai ma mère, mon père. Personne ne répondit. Je m’époumonai attendant une réponse, n’importe laquelle et je n’osai bouger. Mais personne ne me répondit. Alors, la voix brisée, je rassemblai mes forces et me redressai. Je ne comprit tout d’abord pas ce que je voyais. J’avais cru qu’on m’avait enlevé pour me transporter dans un paysage ressemblant au parc accueillant que je connaissais, mais avec du rouge partout. Le sol était couvert d’un liquide un peu visqueux et encore chaud, couleur rubis. Ça et là, flottaient des morceaux informes et mous de couleur rouge vif ou rose. Il y avait même une sorte de bouillie grise par endroits. Les arbres aussi avait bris une teinte rouge, comme si un peintre négligent avait envoyé sont pot de peinture contre le feuillage dense et maintenant étouffant des chênes. Tiens, une boule poils pendait d’une branche… Vent tourna et je croisai ce regard gris et vide. Je comprit. Ou plutôt, je décidai de ne pas comprendre. Et pourtant je regardai autour de moi. Et je les vis. Ces gens, trop curieux, en morceaux. A côté de moi, il y avait deux corps que je reconnu comme étant celui de mes parents. Ouf ! Il étaient entiers et semblaient dormir paisiblement, tout comme je l’avais fait pendant les minutes… heures ? qui s’étaient écoulées. Je les appelai doucement en rampant vers eux, un sourire heureux et rassuré aux lèvres. Papa était le plus proche. Il était allongé sur le côté, dos à moi, son bras faisant un drôle d’angle. Et bien, je ne savait pas que papa était aussi souple du bras ! Je commençais à faire le tour, pour lui faire face, lui parlant doucement… Je ne sais pas pourquoi, mais je n’osai pas regarder son visage. Je fixai donc le sol souillé et tendis un bras pour me serrer contre lui. Ma bouche s’ouvrit en un cri muet : mon bras était passé à travers le corps de mon père avec un bruit écœurant. Ou plutôt, il était passé dans le trou dans le corps de mon père. Un trou fait en pleine poitrine et saignant abondamment. Il était transpercé de part en part et on pouvait voir les arbres avec leurs branches acérées qui me faisaient penser à des pieux meurtriers à travers. Je ne sais pas pourquoi je ne l’avais pas remarqué quand je le regardais de dos. Je pense que je l’avais vu, mais que je ne voulais pas l’admettre. J’avais besoin d’un espoir. Même à présent j’espérais que ma mère allait se réveiller. Qu’elle n’avait pas de trou, mais je me trompais. Le sien était taillé net dans sa belle peau blanche et douce. Mais ce n’est pas ce qui attira mon regard quand j’osai le porter sur elle en retenant mon souffle. Je le vis. Ce regard gris. Vide. Mort. Mort ? Alors… C’était ça, la mort ? C’était ça quand on partait loin pour ne jamais revenir ? Eliot… il est mort ? Alors qui ai-je vu ? Un fantôme ?
Mon esprit vagabonda ainsi survolant l’horreur du réel, se cachant dans les nuages de la réflexion et l’aveuglante lumière de la connaissance. Je comprenait, enfin. Je dois avoir l’air d’un sans-cœur, philosopher avec mon niveau de gamin de 5 ans alors que mes parents venaient d’êtres tués et de nombreuses personnes, parmi lesquelles des enfants, massacrées. Oui, je n’avais pas de cœur à ce moment. Il s’était comme pétrifié, gelant toute émotion en moi, ne laissant qu’un grand vide froid comblé par mon esprit pour ne pas devenir fou. Je crois que c’est grâce à cela que je survécu… et que je « vis » aujourd’hui. »

La lignes manuscrites dont l’écriture traduit le tremblement de la main de Drac quand il écrivait s’arrête là. Vous déduisez aisément du texte et de la façon dont les choses ont été tracées que ce souvenir a été particulièrement éprouvant à faire ressurgir et à coucher sur papier. Inquiet d’avoir put vous introduire dans des pensées si intimes, vous jetez un œil vers le jeune homme assis devant vous. Il a croisé les bras sur son torse pendant que vous lisiez et son expression est aussi impassible que celle d’une statue de marbre. Il intercepte votre regard embarrassé et vous sourit gentiment, vous encourageant à continuer d’un geste de la main.
La suite des dates chronologiques continue :

19 Mai 1888 : la police interroge le seul survivant du massacre, Drac, mais celui-ci ne se souvient de rien.

21 Mai 1888 : un des enfants accuse devant tout le monde, et en plein réfectoire, le « petit prince rouge » (nouveau surnom de Drac) d’avoir massacré ses parents et beaucoup d’autres personnes. Une bagarre éclate. L’enfant à le nez cassé et se sert de cela pour appuyer ses dires.

3 juillet 1888 : la police classe l’affaire suite à un pot de vin gracieusement octroyé par « Shark company » dirigée à l’époque par un homme de confiance de feu le père de Drac.

12 Mai 1888 – 17 Décembre 1895 : Drac réside à l’orphelinat. Il a peu d’ami, les gens sentant que « quelque chose ne tournait pas rond avec cet enfant ». Il a hérité de la fortune et de l’empire de son père, mais il ne peut accéder à l’argent avant ses 18 ans. Jaloux et effrayés, les enfants comme les adultes l’évitent. Il se renferme, parlant peu et apprend à ne plus faire confiance à personne.
En fait, dès son arrivée il s’était renfermé. Il se sentait lui-même déjà différent et n’aimait pas se mêler aux autres. Ceux-ci le prirent d’ailleurs comme une marque de snobisme et lui donnèrent un surnom. Il a 15 ans quand il fuit l’orphelinat.

A cet endroit, il y a une nouvelle interruption et une feuille parcheminée, jaunie par le temps et brûlée sur les bords est collée :


En dessous se trouve tout de même un explication, mais ce n’est plus cette belle écriture calligraphique… Cette fois-là, les signes sont plus tourmentés, presque comme griffés avec colère ou arrachés à la plume. La signature est cependant écrite avec un style raffiné. Il est écrit :



« Ah, que je me suis amusé ce jour là ! Drac s’est mis en colère je ne sais plus pour quelle raison futile et du coup, je suis ressortit. Je me suis dit qu’il ne m’en voudrais pas de jouer un peu, comme dans ce parc quelques années auparavant. Le premier gamin, il devait avoir 17 ans, qui croisa mon regard essaya de fuir en hurlant. Ok, il a eut à peine le temps d’ouvrir la bouche que son corps s’écroulait au sol et que sa tête roulait à l’autre bout de la pièce. Et là – c’est le moment que je préfère- ils se sont tous regardés et ont commencés à hurler et courir dans tous les sens ! Vraiment n’importe quoi ! Enfin bref, j’ai joué, et puis j’ai fini par en avoir assez et j’ai arraché ce qu’ils appellent « dents » et les éparpillées partout au sol. Ensuite, je suis parti récupérer quelques affaire personnelles de Drac et m’apprêtait à quitter cet endroit maudit auquel je venais de mettre feu. Sur le pas de la porte, je souris et fit demi-tour retournant dans la fournaise. Je pris le premier bout de papier qui trainait et choisi une belle plume. J’écrivis ensuite en trempant son bout dans le sang encore liquide qui maculait le sol. Je déposait le mot devant la porte, hors d’atteinte des flammes et sous un petit caillou blanc afin qu’il ne soit pas emporté par le vent. Je parti en riant en m’imaginant la tête des policiers quand ils trouveraient ce petit indice. »


Nuit du 17 au 18 Décembre 1895 : l’orphelinat brûle. Il semblerait qu’il n’y ait pas de survivants. La presse ne parle pas des dents éparpillées, seule chose restante pour identifier les corps.

18 Décembre 1895 : Drac à 12 ans, commence alors une vie solitaire de vagabond. Il apprend à voler, mentir et survivre. Il passera maître dans l’art ne pas en dire trop sans nécessité, de cacher ses pensées et ses émotions. Il survie non seulement grâce au vol, au plantes et aux animaux qu’il chasse avec les moyens du bord, mais aussi grâce aux recettes de ses parties de poker illégales. En effet, il se révèle extrêmement doué pour le bluff.

29 juillet 1901 : Drac à 18 ans, il prend possession de « Shark Company » mais laisse son homme de confiance aux commandes. Il préfère éviter les contact de peur de commettre un nouveau massacre. Il cesse de vieillir physiquement un an plus tard. Quand il s’en rend compte, il commence à effectuer de nombreux déménagements pour que personne ne remarque sa bizarrerie.

6 Aout 1915 : Premier voyage au Japon. Alors que Drac se promène dans les rues, une jeune fantôme se fait attaquer par un Chesthole (monstre avec un trou dans la poitrine). Un homme étrangement vêtu, avec un chapeau vert et blanc qui masque ses yeux, semble voir que Drac est capable de remarquer la présence du fantôme et des monstres. Il lui fonce dessus et « enfonce »sa main gantée dans le torse.

« J’ai eut une drôle d’impression. Comme si je sortait d’une sorte de coquille molle et chaude, mais pourtant glaciale en même temps. J’ai à peine eut le temps de voir le type qui venait de me faire je ne sais quoi. Je me souviens que le monstre s’est arrêté d’un coup et qu’il m’a regarder d’une air… à glacer le sang et en grognant un « miam, miam… reiatsu puissant »…
« Hein ? » fut ma réaction. Je n’eut pas le temps de continuer : la bête me fonçait droit dessus en hurlant miam miam. J’avoue que je ne sut pas vraiment comment réagir. Au dernier moment, je me mis à courir jusqu’à ce que quelque chose me stoppe brutalement : une chaîne partait de mon torse et me reliait à … mon corps ?!
« C’est quoi ce bordel ?! Hé, toi ! Que m’as-tu fait ? Aaaah ! »
Je dus esquiver le monstre qui continuait à tendre ses grosses attes vers moi en répétant son « miam-miam reiatsu charabia-qui-veut-rien-dire » à la façon d’un bébé qui courre après un chaton… plutôt une souris qu’il effraie… En tout cas, le type ne me répondait pas. Il se contentait de sourire à lui-même et de m’observer. Je ne sais plus trop ce qui se passa ensuite, mais je fini par être attrapé par le monstre et celui-ci me porta vers sa bouche. Je ferma les yeux et je fis la seule chose que je pouvais faire à ce moment : je priai. A qui ma prière fut-elle adressée ? Je ne le sais pas : je n’étais pas croyant. Tout ce que je sais, c’est qu’elle fut entendue.

Quand je rouvrit les yeux, intrigué de ne pas sentir la forte poigne du monstre, je me trouvait à flotter dans le ciel. Je jettai un œil vers le sol, mais je ne vit qu’une mer de nuages à perte de vue. Rien ne m’indiquai ou se trouvait le « haut » et où était le « bas ». C’est alors qu’un gros nuage gris, presque noir, m’entoura. Je ne pouvais pas fuir, ni même bouger, alors je l’observai plus attentivement et vit qu’il s’agissait en fait plus d’un nuage blanc et noir que véritablement gris. Deux « boules » de fumée, l’une noire et l’autre blanche justement, s’en séparèrent et prirent peu à peu la forme de… dragons ? !
« Génial ! Manquait plus que ça ! Des fantômes, des monstres, des guignols en pyjama noir qui se battent contre ces monstres et maintenant des dragons ? Et la princesse en détresse, elle est où dans tout ça ? C’est moi peut-être ? » pensai-je.
A ma grande surprise, l’un des lézards géant (le blanc) eut un petit rire alors que l’autre se tortilla de façon plutôt menaçante. Je fus encore plus surprit en entendant des voies raisonner dans me tête :
« Hi ! Hi ! Hi ! Il est plutôt drôle ce jeune homme ! Tu ne trouves pas Raiunshu ?
- Grrr… Si tu veux mon avis, il n’a juste aucune culture et est sacrément impoli, Shiraha !
- Minute ! Qui parle ? Ces quoi ces dragons ? Et puis… c’est quoi ces noms ? … euh… »
Je venais de comprendre ce qui se passait : les deux dragons me parlaient. Et en effet, Raiunshu parlait avec une voix tonitruante et forte comme le tonnerre, ses écailles noires luisaient comme l’éclair, tandis que Shiraha étaient plus délicate. Ses écailles étaient couvertes d’un mince duvet blanc. Je devinais qu’il devait être d’une incroyable douceur, tout comme sa voix qui sonnait comme une brise de printemps. En tout cas , elle était morte de rire alors que son compagnon semblait vexé, voire en colère.
« Mauvais. » pensai-je.
A peine eus-je le temps d’ouvrir la bouche pour m’excuser, que Raiunshu me rugit mentalement :
« MAUVAIS ? Qui est mauvais, microbe ? Tu vas voir…
- Gomennasai ! Je … Veuillez m’excuser Raiunshu-san…-sama, Shiraha-sama. Je ne savais pas… et ne sais toujours pas en fait, à qui je m’adressais… »
Raiunshu sembla se calmer et Shiraha éclata de son rire mélodieux. Il m’expliquèrent un truc comme quoi ils étaient des esprits enfermés dans l’épée nommée Zanpakuto et que je pouvais faire appel à eux par une formule. Cette arme devait me servir à tuer les Chestholes.
Ainsi j’obtins mon Zanpakuto et tua le monstre qui s’apprêtait à me dévorer. Lorsque je retournai à mon corps, je remarqua que la chaîne avait disparut. Je réintégra mon enveloppe charnelle et trouva un mot dans poche, avec un de ses gadgets pour enfants qui contiennent des bonbons. Il y avait uen tête de loup je crois. Bref, le moi disais que je devais avaler un des ces bonbons uniquement si je voyais un de ses monstres et pour les battre. Un PS expliquait que je ne manquerais jamais de ces bonbons. Je ne sais pas comment ce type a fait, mais il disait vrai : je recevais régulièrement des colis contenant ces mystérieuses pastilles qui me faisaient sortir de mon corps. Même lorsque je quittai le Japon. »

19 Janvier 1936 : Drac quitte le Japon pour l’Amérique. Il continue à combattre les Chestholes et maîtrise de mieux en mieux son Zanpakuto et son Shikai. Kyuuketsuki ne fait plus apparition… pour le moment. Etrangement, il reçoit toujours ces bonbon faiseur de fantôme.

22 Mars 1987 : un Chesthole plus puissant tue presque Drac. Kyuuketsuki vient à la rescousse et n’a aucun mal à repousser le Chesthole. L’idée de maîtriser Kyuketsuki un jour pour en faire un allier en combat traverse l’esprit de Drac.

19 Mai 2009 : Il revient au Japon et s’installe dans la petite ville tranquille de Karakura sous le nom de «Datenshi Aketaishi ».

wouuuuah, Drac, Je SURKIFFE l'histoire xD
Finie?

Arf... je crois oui... en fait je crois que la fiche est finie ^^

Enfin! lol

merci à tous en tout cas!

YOUPIIII
KONSAMAAA!! ICI ICI ICI ICI!!

C'est une histoire plutot triste mais bien construite !!!

Je valide bien sûr, bon jeu !

(N'oublis pas de remplir ta feuille de personnage ! ^^)